EXPOSITION

"Vies volées, vies rêvées", l'artiste Sandrine Plante présente ses puissantes sculptures sur le thème de l'esclavage à Clermont-Ferrand

12/05/2023

Publié par France info culture :

Sandrine Plante est un scuplteur (c'est elle qui tient à utiliser le masculin pour son métier) de renommée internationale. Née dans le Puy-de-Dôme d'une mère auvergnate et d'un père réunionnais, elle est depuis l'enfance attirée par le travail de la terre, tout autant que par l'histoire de ses ancêtres, dont certains furent esclaves. Une artiste militante qui donne vie à des personnages puissants pour conter une partie très sombre et parfois encore méconnue de notre histoire, l'esclavage. […]

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"Vies volées, vies rêvées" : les œuvres humanistes de Sandrine Plante à découvrir à Clermont-Ferrand

14/04/2023

Publié par La Montagne :

Une exposition pleine d'humanisme et lourde d'histoire est présentée jusqu'au 10 juin à la chapelle des Cordeliers, place Sugny. Une quarantaine de sculptures d'hommes et de femmes africaines sont présentées par l'artiste Sandrine Plante, une Clermontoise reconnue à l'international. Ses œuvres, déconcertantes de réalité, représentent des personnages en taille réelle qu'elle a « juste rêvés ».

Son exposition, présentée d'une manière chronologique, retrace l'histoire des Africains, en mettant en scène les périodes d'exode, d'esclavage mais aussi des hommes libres. « C'est un devoir de mémoire pour ne pas oublier les opprimés d'hier et d'aujourd'hui. Finalement, je raconte plus de 400 ans d'histoire », explique l'artiste. […]

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Sandrine Plante donne corps à l'Afrique

2023

Publié par le département du puy de Dôme : 

Au fil de ses œuvres, Sandrine Plante raconte l'histoire de l'Afrique, berceau de l'humanité. L'exposition regroupe une quarantaine de sculptures en résine acrylique et deux œuvres en terre cuite. Les spectateurs auront également la chance d'admirer une œuvre inédite, réalisée sur place et spécialement dévoilée pour l'occasion.

À travers leurs expressions figées dans la matière, les statues de Sandrine Plante vivent et ressentent, mais surtout témoignent du vécu de ses ancêtres. Ni modèle, ni dessin à la base de ses œuvres : une inspiration onirique fondée sur les visages de ceux qui la visitent dans ses rêves. De ses mains, elle modèle la terre pour mieux creuser leur passé. En suivant la chronologie historique, elle fait revivre ceux qui ont trop longtemps été oubliés : en commençant par les féticheurs, les guérisseurs et les nomades en passant par les esclaves, pour terminer par les hommes modernes... Ses créations à taille humaine sont d'un réalisme impressionnant. Elles interpellent le spectateur afin de lui conter l'histoire de ces vies volées, que l'artiste a vues en rêve. […]

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Mémoires rêvées d'Afrique par Sandrine Plante

24/03/2023

Publié par 7 jours à Clermont

"Vie volées, vies rêvées" est la première exposition monographique de Sandrine Plante dans sa ville natale. Au fil de ses œuvres elle raconte l'histoire de l'Afrique, berceau de l'humanité.

C'est en 1974, dans le Puy-de-Dôme, que Sandrine Plante pousse son cri primal. Avec une mère auvergnate et un père réunionnais, la voici dotée d'une identité métissée « zoréole » (contraction de créole et zoreille), influencée par deux pays de terres volcaniques. 8 ans plus tard, une tante lui offre de la terre à modeler, une matière avec laquelle la connexion est immédiate. La sculpture s'impose et devient pour elle, le moyen d'expression le plus pertinent. […]

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Ouverture de la première galerie d'Art humaniste dédiée au «devoir de mémoire sur l'esclavage», fin octobre, à Lyon

09/11/2020

Publié par People Bò Kay

La première galerie d'Art humaniste, dédiée au « devoir de mémoire sur l'esclavage » ouvrira le 30 octobre à Lyon, autour des sculptures de l'emblématique artiste, Sandrine Plante, dont les œuvres monumentales consacrées à l'esclavage font désormais référence.

Baptisée, « Maron'Ages », en référence aux « Nèg Mawon » (Nègres Marrons), cette galerie privée ambitionne «de faire connaître les oubliés de la Traite Négrière» à travers des artistes noirs engagés, explique à People Bokay, Christophe Esclapez-Ceva, le propriétaire de la galerie.
L'homme, 47 ans, a investit pas moins de 100.000 euros dans ce projet dont la devise est «Art et Humanisme ». 
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